Déconfinons les sciences ! samedi 06 novembre 2021
Première table-ronde (de 15h à 17h)
– Pour une endocritique de la science, avec Jean-Marc Lévy-Leblond
– Être scientifique au temps du libéralisme, avec Jean-Marie Vigoureux
– La place et le rôle des scientifiques dans les luttes sociales, avec Annie Thébaud-Mony
– La recherche, entre guerres sanitaires et décroiscience, avec Jacques Testart
– Une histoire de la critique de la science, avec Renaud Debailly
– Sortir d’une vision mécaniste du vivant, avec Pierre Bourlier
– L’engagement scientifique en actes. L’exemple du collectif Atécopol, avec Jean-Michel Hupé
– La désobéissance civile dans la recherche. L’exemple du collectif Scientifiques en rébellion, avec Tanguy Fardet
Le synopsis : Un vieux philosophe et son robot luttent pour que les Hommes gardent leur humanité dans un monde de plus en plus connecté. Une rêverie, mêlant humour, poésie et enjeux scientifiques actuels, qui questionne le destin de notre civilisation au sein de nos sociétés technologisées. La science sans conscience est-elle humaine ?
Sciences Critiques est né d’un constat simple : il n’existait pas, jusqu’à aujourd’hui, de site d’information dédié exclusivement aux sciences, traitant tout particulièrement des sciences « en train de se faire », dans les laboratoires comme en-dehors – par opposition aux sciences « déjà faites » que sont les découvertes scientifiques et les innovations technologiques.
Il n’existait pas de site d’information et de réflexion associant penseurs, journalistes et citoyens, dont les contenus éditoriaux seraient entièrement consacrés au décryptage des controverses scientifiques contemporaines et, plus généralement, à la compréhension du « monde des sciences ».
Nous nous positionnons en tant que méta-média, désireux, non pas de participer à la compétition médiatique, mais d’offrir, aux passionné-e-s des sciences comme aux curieux-ses.
Convaincu-e-s que l’élaboration d’une information de qualité nécessite du temps, nous nous inscrivons pleinement dans une démarche de « journalisme lent », la seule façon, selon nous, de renouer avec les lettres de noblesse du journalisme.